la mort

Une fois que la rue était vide, nous étions seuls, regardait de côté et ne vit rien, les maisons et les fenêtres étaient fermées, nous savions que nous étions à regarder, mais nous les avons vus nous n'avions pas peur, tout marchait dans la rue, tout à coup nous avons vu un lointain la lumière, la lumière vive, brillante, et de marcher vers cette lumière, combien plus elle s'éloignait, s'il voulait, c'était pour nous sortir de la zone de danger, mais qui n'ont pas peur. Je ne sais pas combien de temps nous nous sommes promenés juste fait un tour, n'a pas soif, faim ou de fatigue, peut-être parce que nous n'avons pas pressés de partir, ou parce que nous marchions lentement, pas regardé en arrière, c'était comme passer jamais nuit perpétuelle suite d'une lumière éternelle, qui n'a jamais a pris fin, la rue était éternelle maisons éternelles étaient tout était éternel ...
Daniel Silva Gomes